France, 1994
Les deuxièmes Jeux de la Francophonie, c’était comment ?
Cette édition voit naitre l’hymne des Jeux de la Francophonie, « La lumière qui nous unit », écrit par Etienne Roda-Gil sur une musique originale de Jean-Claude Petit. Il retentit pour la première fois lors de la cérémonie d’ouverture dans la cour carrée du Louvre.
Un choix plus judicieux des disciplines, une sélection plus éclairée des artistes par les États et gouvernements, des sites prestigieux pour accueillir les concours (Olympia, Théâtre du Rond Point, CNAC Georges Pompidou), des jurys incroyables (le chanteur Manu Dibango, le sculpteur César...), un public venu nombreux ont donné un éclat tout à fait particulier au volet culturel de ces Jeux.
En sport, le nombre de disciplines programmées s’est étoffé en comparaison à la première édition des Jeux de la Francophonie.
Les Jeux de la Francophonie France 1994 ont consacré en judo un certain David Douillet [1] dans la catégorie des plus de 95 kilos. De l’or qu’il collectionnera à Atlanta en 1996, ou encore aux championnats du Monde 1995 et 1997. Ces mêmes Jeux voient le Canadien Donovan Bailey [2] décrocher l’argent sur 100m en athlétisme, avant de devenir l’homme le plus rapide du monde en 1996 aux J.O. d’Atlanta, chronométré à plus de 44km/h !
Programme officiel
Sport
- Athlétisme (masculin et féminin), y compris para-athlétisme
- Basket-ball (féminin)
- Football (masculin)
- Handball (masculin et féminin)
- Judo (masculin et féminin)
- Lutte (masculin)
- Tennis de table (masculin et féminin)
Culture
- Chanson
- Contes et conteurs
- Danse contemporaine
- Danse traditionnelle
- Peinture
- Sculpture
- Production télévisuelle
Voir aussi ...
Ceremonie d'ouverture
Présentation des Jeux